Souvenirs du futur

20051024

 

2053,10-23

L'œuvre posait aussi la question de la satisfaction(,)[:] (de l)[L]a conformité entre ce qu'on espère et ce qu'on obtient. Bien entendu, on pense à celle du public, mais aussi de l'artiste, bien plus importante parce que vitale.
Mais la question n'était pas destiné aux élites intellectuelles, aux populations cultivées. La question était posé à ceux qui n'étaient pas satisfait. Cette insatisfaction pouvait être social, politique, religieuse ou morale -au vrai sens du mot-

Méta-éthique ::::::::::::::::::::::::>>>Oo°.>o<<

- et s'adressait à tous ceux dont le niveau d'espérence était le moins exigent.

La barrière du fou


Le propos en question est donc parfaitement révolutionnaire.
Je me souviens que nous étions la cible de tout ce qui représentait l'autre morale, celle qui justement sans pudeur copule avec religion, masquant son propos par le pudique emploi de "tradition judéo-chrétienne", pudibond devrais-je dire. Ces mêmes représentants qui refusaient, naïvement pour certains, l'entrée de la Turquie dans un regroupement stratégique appelée du même nom que ce qui fut un continent l'Europe, puis plus qu'une moitié d'Indo-Européen.
La géopolitique n'était pas encore un mode de gestion autonome mais encore aux mains de Grands Représentants ???supplétifs???,"tradition judéo-chrétienne" s'opposait sur la planète entière avec la "tradition islamique". Ce conflit était observé par le monde asiatique, inquiet d'être potentiellement sujet aux mêmes ########. L'Afrique était incapable de seulement voir comment marchait la planète. Les populations n'arrivaient pas seulement à poser des doutes sur le comportement de leur élite. Les dirigeants africains se sentaient légitimés vis à vis de leur population par l'adoubement complice des dirigeants des pays démocratiques. Les Russes réprouvaient dans de réguliers et térapeutiques bains de sang tout espoir à un peuple, qu'une bande de guerriers de religions -complices involontaires, conditionnés bien sûr mais pas totalement désintéressés non plus-, maintenaient comme victime, jouant le jeu d'un masochiste douillet qui se fait représenter par une doublure lumière pour en jouir dans l'ombre.

Les Russes réprouvaient dans de réguliers et térapeutiques bains de sang tout espoir à un peuple, qu'une bande de guerriers de religions -complices involontaires, conditionnés bien sûr mais pas totalement désintéressés non plus-, maintenaient comme victime, jouant le jeu d'un masochiste douillet qui se fait représenter par une doublure lumière pour en jouir dans l'ombre.

La barrière du fou était un test qui marchait parfaitement pour choisir si l'interpellateur avait un intéret..………………………………………………………………

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